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PUISSANTES LEÇONS DU SOMMET DES MÉDIAS VERTS AVEC PRIYA SARAN

Le 11 avril, l'équipe de direction de Klever s'est réunie pour le Sommet des médias verts avec plus de 400 participants, 200+ entreprises et 35+ conférenciers - notamment des leaders de l'industrie, des experts du climat, des agences et des marques - dans le but collectif de réduire les émissions de carbone dans les médias numériques.

Avec une conférence principale inspirante de Seth Godin, rédacteur en chef fondateur de « The Carbon Almanac », les participants ont quitté le sommet armés de stratégies pratiques pour mettre la théorie en pratique. Nous avons rencontré Priya Saran, directrice du marketing de la croissance chez Klever, pour connaître ses réflexions sur le Sommet des médias verts et découvrir les enseignements les plus précieux de l'événement.

QUEL A ÉTÉ LE MOMENT LE PLUS IMPRESSIONNANT DE L'ÉVÉNEMENT ?   

Priya Saran : « Le moment le plus marquant pour moi a été de réaliser l'influence à grande portée de la publicité. Ce n'était pas une simple citation ou une discussion de panel, mais plutôt une compréhension globale que la publicité a le potentiel de façonner et d'inspirer chaque industrie. Le sommet a consolidé l'idée que la publicité peut être une force puissante pour le bien, allant bien au-delà de la simple promotion de produits. Elle peut déclencher des changements sociaux, remettre en question les normes et inspirer l'innovation dans divers secteurs. »

QUELS ONT ÉTÉ VOS DEUX PLUS GRANDS ENSEIGNEMENTS DU SOMMET DES MÉDIAS VERTS ? 

Le Sommet des médias verts a mis en lumière l'intersection puissante entre la publicité, la durabilité et le besoin urgent d'un changement systémique pour lutter contre les enjeux climatiques. Il ne fait aucun doute que la résolution de la crise climatique nécessite une action audacieuse et ambitieuse de l'industrie de la publicité.

L'un de mes enseignements clés et inattendus du sommet est parfaitement résumé par le point de Seth Godin : « Nous sommes tous des hypocrites. Nous devons l'accepter car si nous ne le faisons pas, nous resterons silencieux. »

Nous devons accepter que nous n'avons pas besoin de tout faire en même temps pour faire une différence. Le point de départ, comme l'a souligné Solitaire Townsend lors du sommet, n'est pas nécessairement votre empreinte, mais votre « empreinte cognitive ». De nombreuses personnes hésitent à participer à des discussions sur la durabilité car elles se sentent mal informées, mais même de petites actions peuvent avoir un impact significatif. Ces actions pourraient être quelque chose d'aussi simple que de poser des questions, de participer à des ateliers ou d'initier des discussions avec des amis et la famille. En prenant ces petites mesures, nous pouvons collectivement favoriser une culture de sensibilisation et d'action, menant ainsi à un avenir plus durable. N'oublions pas que le voyage vers la durabilité est un marathon, pas un sprint, et chaque contribution, si petite soit-elle, nous rapproche de la ligne d'arrivée.

Cela m'amène au deuxième enseignement clé : le pouvoir de la narration. Seth Godin a dit : « Ce que nous [en tant que spécialistes du marketing] faisons pour vivre, c'est raconter des histoires, et ces histoires ont transformé le monde au cours des 100 dernières années. » Il y a là une vérité bien réelle. Si nous nous disons qu'il n'y a pas d'espoir, ou que nous ne pouvons pas faire la différence, ou que c'est tout simplement trop tard, nous ne nous approcherons jamais d'une transformation.

RÉFLEXIONS FINALES

Le Sommet des médias verts s'est avéré être une expérience enrichissante, motivant les marques et les agences à redéfinir leur approche de la durabilité, même si cela signifie de commencer par une seule petite action à la fois. Plus important encore, lorsque les entreprises adoptent la durabilité de manière collective, l'avenir est voué à être plus lumineux et prospère pour tous.

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